Deltamu propose une nouvelle série de webinars pour répondre à la question que vous êtes nombreux à nous avoir posée : La SMART METROLOGY, c’est quoi en fait ?

Nous vous invitons donc à suivre ce cycle de 4 webinars qui seront animés par Jean-Michel Pou, Président Fondateur de Deltamu, co-auteur du livre La Smart Metrology, de la métrologie des instruments à la métrologie des décisions publié par l’AFNOR.

Ce premier webinar de la série donne les clés de compréhension de la situation actuelle : De la métrologie légale à la métrologie d’aujourd’hui : Comprendre pourquoi nous nous sommes tous trompés !

Découvrez comment on a copié/collé un modèle qui marche bien (la preuve, tout le monde croit que les mesures sont justes !) pour le mettre en œuvre dans le monde industriel où il est, par nature, totalement inadapté. Seront aussi évidement abordés le sujet des périodicités calendaires (l’étiquette a une date de validité juridique, pas technique) et des EMT (Erreurs Maximales Tolérées) qui ne concernent que les points mesurés au cours de l’étalonnage et n’ont aucune prétention de donner des informations sur les points non mesurés (du fait de l’approbation de modèle et du principe de partage des risques).
Dans le monde industriel, les questions sont totalement différentes. Un instrument ne fait pas l’objet d’une approbation de modèle et il peut produire des mesures sur n’importe quel point de son étendue. Puisque les mesures ne sont pas justes, chaque décision induit un risque et là encore, une erreur de type systématique sur l’instrument n’induit pas la même chose, en termes de risque, qu’une erreur aléatoire de même valeur. Les EMT ne sont pas adaptées à cette question. Les périodicités arbitraires non plus puisqu’il faut que les mesures soient fiables tous les jours. D’où la nécessité de passer des périodicités calendaires (même estimées avec le FD X 07-014 par exemple) à des périodicités conditionnelles ce qui impose les surveillances.

Ce second webinar de la série est consacré au sujet des périodicités d’étalonnage : Qui peut encore croire qu’il est pertinent d’étalonner ses instruments tous les ans et comment faire autrement ???

Comprenez pourquoi les périodicités calendaires sont inadaptées aux problématiques industrielles. Ce webinar reposera sur beaucoup d’exemples concrets.
La solution : les surveillances qui sont surtout du bon sens.

Dans ce troisième webinar de la série, Jean-Michel explique pourquoi les mesures ne sont pas exactes (nos observations sont toujours le mélange entre la réalité et les erreurs de mesure).

Seront notamment abordés :
– le GUM,
– le besoin d’exploiter intelligemment les résultats d’étalonnage
– la nécessité de modéliser les résultats d’étalonnage pour faire la part entre les effets systématiques (qu’on peut corriger) et les effets aléatoires (qu’on subit).
– l’idée que l’incertitude de mesure n’est pas autour de la valeur mesurée mais autour de la valeur vraie (Révolution copernicienne portée par le JCGM 106 et promue par Deltamu)
– deux mots sur la déconvolution qui permet d’avoir un avis pertinent sur la réalité lorsqu’on connait bien les incertitudes
Et pour finir, quelques pistes de réflexion pour sortir enfin du modèle de la sur-exigence.

Dans ce quatrième et dernier webinar de la série, Jean-Michel développera développera la conclusion du webinar d’avril sur la sur-exigence, incompatible avec la prise de conscience des ressources finies de la nature. Comment pouvoir faire « au moins la même chose mais avec moins de ressources » ?

Il expliquera notamment le rôle que peut jouer la Smart Metrology dans l’atteinte de cet objectif en répondant notamment aux besoins de mesures plus fiables qu’aujourd’hui et présentera les outils qui permettent de mieux comprendre et analyser les données issues des mesures.

Nous vous attendons nombreux pour cette nouvelle série et nous espérons qu’elle vous plaira autant que nos derniers webinars que vous avez été plus de 1100 à suivre l’an dernier. Merci à vous 🙂

En attendant ces prochains RV, nous vous invitons à voir ou revoir les replays, notamment le dernier qui donne une belle illustration par l’exemple des résultats obtenus par la Smart Metrology chez THALES

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